YUMAN ZOO

Aller au contenu | Aller au menu | Aller à la recherche

mardi 14 juillet 2009

Létal






B.D pour adulte.

Ma cité pourrait craquer...






Image extraite du "courrier internationale" traitant des manifestations en Iran.

mardi 17 février 2009

GARE ô GORILLE.




Dessin à la barre à mine de plomb et au crayon porte-mines anti-petit-personnel.
Gorille à l'échelle 1.



Détail de la tête ô Gorille.


L'envie me prend de dessiner des zanimaux, à venir une autre "Bête" échelle 1.
Les prémices de mon ZOO ou le re-début de mon YUMAN ZOO.


vendredi 23 janvier 2009

Dites quarante quatre...






mercredi 10 décembre 2008

La colonie pénitentiaire







vendredi 5 décembre 2008

Les cercles de l'épouvante.



Le jour de la saint-Ambroise, j'étais malade, comme
tous les enfants gâtés d'ailleurs, car, la veille étant la
Saint-Nicolas, ils s'empiffrent de sucreries, de pâtisserie et de fondants.
Il me fallut me lever dans la nuit, la bouche mauvaise, le
ventre lourd, tiraillé de crampes vives. Le malaise
passé, je regardais par la fenêtre la rue noire et venteuse où le grésil grignotait le silence.
La maison de mon oncle Kwansuys faisait à peu près
face à la nôtre et je fus étonné en voyant, à cette heure
avancée, les stores de sa chambre à coucher teintés de lumière jaune.
- Il est malade, tout comme moi, ricanai-je, me souvenant avec amertume
du bonhomme en pain d'épice qu'il avait prélevé sur mes présents de la Saint-Nicolas.
Et soudain, je me jetai en arrière en étouffant un cri d'épouvante.
Une petite ombre véloce courait sur le store, l'ombre particulièrement hideuse
d'une araignée gigantesque.
Elle grimpait, descendait, courait de-ci, de-là en des cercles rageurs et, soudain,
s'élança hors de mon champ de vision.
De l'autre côté de la rue s'élevèrent alors des appels effroyables, qui, secouant l'immense sommeil
du Ham, firent s'ouvrir les fenêtres puis les portes.
Ce fut la nuit où l'on trouva mon oncle Frans-Pieter Kwansuys égorgé dans son lit.
On m'as raconté depuis qu'il avait eu la gorge arrachée et le visage réduit en bouillie.

Les cercles de l'épouvante de Jean Ray, p. 213. Extrait de "La main de Goetz von Berlichingen".




vendredi 24 octobre 2008

"Lavé de tous soupçons"